Marié, pacsé ou vivant en union libre, un couple qui se lance dans l’achat de son logement doit anticiper le pire, comme le décès de son conjoint, pour être certain d’y vivre dans les meilleures conditions possibles toute sa vie, explique Me Ronald Chevalier, notaire.
Devenir propriétaire fait partie des rêves de nombreux Français. Souvent, c’est à deux que l’on se lance dans l’aventure. Si le couple est marié et n’a pas signé de contrat de mariage, il est soumis au régime matrimonial dit de « la communauté réduite aux acquêts ». Concrètement, tous les biens que les époux achètent ensemble leur appartiennent à tous les deux. Aussi quand l’un décède, celui qui reste n’est propriétaire que d’une partie du logement. Si tous les autres héritiers sont des enfants qu’ils ont eu ensemble, alors le survivant peut choisir d’abandonner sa part d’héritage pour disposer de l’usufruit sur l’ensemble des biens.
Sinon, et c’est souvent le cas des familles recomposées, une partie de la maison revient aux héritiers du défunt. C’est avec eux, que celui qui reste doit composer. Dans certaines familles, les relations tendues rendent les choses difficiles. Sauf à anticiper pour protéger le dernier vivant.
Pour en savoir plus sur l’achat du logement, les notaires bretons vous invitent, à assister à une conférence :
Samedi 16 Novembre à 10 h 30 – Famille : Acheter le logement familial.
A Brest, Nantes, Rennes, Saint-Brieuc ou Vannes
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Plus d’informations : 02.99.27.54.45