Selon les habitants, des phénomènes paranormaux seraient apparus dans leur immeuble après le décès d’un des locataires en avril 2019. Ce monsieur de 72 ans était qualifié de “mystique” par ses voisins. Déjà à l’époque, il “communiquait” semble-t-il avec des fantômes. Depuis son décès, les phénomènes se seraient intensifiés. Les lumières s’allument et s’éteignent toutes seules, les meubles bougent dans son appartement resté vide, on entend des coups tapés dans les cloisons… Bizarre bizarre ! Certains locataires auraient même vu des fantômes errer dans les couloirs. L’inquiétude étant à son comble, une dizaine de locataires a demandé à être relogé.
Mais est-ce réellement un motif valable pour un relogement ? Le maire s’interroge et va se rendre sur place prochainement, compte tenu de la situation pour le moins inhabituelle.
Selon l’Union sociale pour l’habitat, une organisation représentative du secteur HLM, “il existe quatre types d’obligations de relogement suivant la nature de l’opération (opération d’urbanisme, travaux de structure, opération de renouvellement urbain et de démolition)“. Le caractère hanté ne ferait donc pas partie des critères de décence. Pas sûr que les locataires aient gain de cause… à moins d’une intervention mystérieuse.